toc toc toc ♥ JONAS.

Une fois le message de Jonas reçut lui confirmant qu'elle pouvait venir immédiatement, Bruna fourra son portable dans son sac à main blanc, souleva le matelas de son lit pour en tirer la weed - oui niveau cachette on a trouvé mieux mais bon - ouvrit le placard de la chambre en sortit un bouteille pleine de gin, le tout fourré dans le petit sac blanc avec ses clés. Une fois, le sac fermé, elle se dirigea vers sa penderie et en sortit une tunique blanche qui lui arrivait mi-cuisse ainsi qu'un mini short en jean à peine plus long que la tunique. Elle s'habilla rapidement, enfila des converses, attrapa son sac à l'arrachée et sortit de la villa, n'oubliant pas de fermer à clé. Elle monta dans sa Mercedes SLK cabriolet et conduisit jusqu'à chez Jonas. La boule au ventre. D'ordinaire les visites à Jonas apaisaient la jeune fille mais aujourd'hui il fallait qu'elle lui parle, des choses devait être dite, et par forcément des plus agréables. Elle avait peur, peur qu'il le prenne mal, qu'il la quitte quand il apprendrait la chose. Oh bien sur elle ne souhaitait pas garder le bébé, non seulement elle était trop jeune mais la situation était en plus de cela bien trop complexe pour mettre au monde un gnome en plus de ça. Mais elle se devait de mettre au courant Jonas, le 'papa', lui lui dirait ce qu'elle devait faire avec ça. Elle sortit de la voiture, espérant que les parents de Jonas ne serait pas à la maison, il ne lui en avait rien dit. Elle s'avança vers la porte les mains moites , son sac à main avec elle, elle regarda la porte quelques instants, avança sa main vers la porte pour toquer, son autre main se posa quelques instants sur son ventre avant de se mettre dans sa poche de short. Elle baissa les yeux et tapa trois petits coups contre la porte de bois blanc de la maison Amnbroglia. Se mordillant la lèvre, elle attendit que Jonas vienne lui ouvrir en regardant la porte puis la rue et le jardin, patientant tranquillement ou presque.





(pourri je sais pas commencé un sujet je me rattraperais promis )

Elle attendait donc à l'entrée de chez Jonas, anxieuse. Comment lui dire ? Comment le prendrait-il ? Et s'il le prenait mal, que pourrait-elle faire alors ? Elle avait peur. Et si ça faisait comme la dernière fois qu'ils s'étaient vu. Elle ne voulait pas d'une autre dispute. Si seulement tout était plus simple. C'était la phrase qui lui trottait sans cesse en tête. C'est vrai pourquoi tout devait-il être si compliqué dans sa vie. Pourquoi ne pouvait-elle pas être heureuse pour une fois. Vous savez un bonheur simple sans encombre. Un happy end qui ne se terminerait jamais. Non, cela lui était interdit visiblement. Elle se posait des questions, tant de questions tandis qu'elle attendait patiemment qu'il lui ouvre. Elle s'en voulait de sa réaction de la dernière fois. Elle aurait du l'écouter, même si ça faisait mal elle aurait du rester, lui endurer tout ces petits tracas du quotidien, ses plaintes constantes sans rechigner, la soutenant toujours et pour une fois qu'il se confiait à elle, elle n'avait pas su l'écouter, elle avait préféré fuir, c'était tellement plus simple ainsi. Alors il lui ouvrit la porte, elle lui sourit presque béatement, comme pour le remercier d'avoir ouvert, de ne pas la chasser, pas encore du moins, peut-être que ça viendrait. Puis il la pris contre lui, l'embrassa comme si tout était effacé, comme si rien ne s'était passé, comme si tout était normal. Elle profita de ce baiser réconfortant, passa ses mains dans la nuque de l'homme qu'elle aimait. Il la serra dans ses bras, il s'y blottit. Puis il se recula. Elle le regarda comme attendant une sentence de sa part. Puis ils allèrent dans la chambre de Jonas, il la fit asseoir sur le lit, elle s'exécuta. Il prit alors la parole pour rompre le silence qui régnait jusqu'alors. « - Oublie ce que je t'ai dit l'autre jour, j'étais juste un peu sur les nerfs sur le coup, je le pensais pas... » Elle baissa les yeux vers le plancher de la chambre de son cher et tendre et dit relevant le regard vers lui. « - Je crois que si justement. C'est moi qui aurait pas du réagir comme ça... Je suis désolé... J'ai été conne une fois de plus j'ai pensé qu'à moi, je... j'ose même pas imaginer ce que tu dois vivre. Si j'étais à ta place... Je ... Je le vivrais mal mais je pense qu'à moi... Pardonne-moi... » Elle avait la voix qui tremblait, elle triturait ses mains nerveusement toujours les yeux rivés vers le sol. « - Tout va bien ? » Elle releva les yeux vers lui et hocha la tête. « - Hmm... Ouais... Hmm... tu ferais bien de t'asseoir... tu sais pour le truc que j'ai à te dire... Oh et euh j'ai ce que .... ce dont je t'avais parlé.. » Elle ouvrit alors son sac et en sortit la Weed et la bouteille de gin.

Elle le voyait hausser les épaules. Etait-ce positif ou négatif ? Nul ne le savait hormis lui et il ne semblait plus disposé à commenter quoi que ce soit de ses sentiments, elle avait gâché sa seule tentative, elle s'en voulait. Mais qui sait, peut être qu'avec le temps elle arriverait à le faire se rouvrir à elle, dans des jours meilleurs peut être. Elle lui demanda de s'asseoir, il s'exécuta alors. Elle lui tendit la Weed et la bouteille qu'il déposa à coté de lui. Elle lui pris ensuite les mains comme pour se donner du courage car elle en aurait besoin pour lui dire ce qu'elle avait à lui dire. Elle appréhendait toujours beaucoup sa réaction. Que ferait-il? Lui hurlerait-il dessus ? Lui ordonnerait-il de partir pour ne plus jamais revenir? Elle ne l'espérait pas. Elle pâlit légèrement à cette idée de ne plus jamais revoir son amour, mais pris une grande respiration pour débiter ce qu'elle aurait à lui dire « - Plus tard... » Elle hocha la tête, tenant toujours fébrilement les mains de Jonas dans les siennes. « - Allez, dis moi... » « - Jonas je... je... je suis enceinte de toi... Je suis désolée... Je sais pas comment ça à pu se faire et je ... j'avorterais bien entendu, mais je voulais que tu le saches... J'aurais peut etre pas du, j'aurais peut être du avorter tout simplement » Elle le regardait essayer de jauger sa réaction à sa figure mais il ne laissait rien paraître, etait-ce une bonne ou une mauvaise chose? Encore une fois, seul lui le savait et c'était bien ce qui inquiétait Bruna, qu'allait-il dire? Qu'allait-il faire? Nombre de questions se bousculait dans la tête de Bruna, question qui ne trouvait pour le moment aucune réponse tangible.



(ultra court mais je tenais à te répondre avant demain)

Elle stressait depuis des jours, depuis qu'elle avait fait le test, à savoir la réaction que Jonas aurait quand il l'apprendrait. Ça y est l'annonce était faite, Bruna était à moitié soulagé, restait à savoir ce qu'il allait lui dire, lui faire sachant cela. La réaction ne se fit pas attendre, il la serra dans ses bras, Bruna fut étonnée mais ça lui fit du bien, ça la fit même sourire. Il posa ensuite un baiser sur le front de la demoiselle et se recula pour s'adresser à elle en ces termes: « - Tu veux avorter ? Je veux dire, il n'y a que cette solution possible ? Tu sais je... je t'en veux pas... C'est juste que... sur le coup là, bah jsuis assez content de l'apprendre, bizarrement. Même si c'est complètement fou. C'est le fait de me dire que......... ton Jaxson s'est bien fait couill*ner qui est cool.. enfin oublie. Tu veux avorter ? » « - Ben... Si je venais à pas avorter ça voudrait dire plus de weed, plus d'alcool et complication sévère au niveau de ... tu sais qui... parce que même si son intelligence est loin d'égaler celle d'Einstein, sachant que je refuse catégoriquement qu'il me touche avant le mariage - pour après le mariage, s'il a lieu, faudra que je trouve autre chose -, il saura que j'ai un amant... Et vu que ses coups sont souvent ciblé sur mon ventre, je doute que le bébé tienne bien longtemps les chocs... Remarque ça pourrait être un moyen de pression sur nos pères pour rompre les fiançailles... » Elle se mettait à envisager des possibilités qu'elle n'avait encore jamais envisagées avant cela car elle était persuadé que Jonas prendrait très mal la nouvelle, mais elle se prenait à rêver de réussir à rompre les fiançailles avant l'heure, à rêver que Jaxson ne serait plus que du passé... Bref elle se prenait à rêver d'un futur heureux pour Jonas et elle, ce dont elle n'avait pas rêvé depuis l'annonce de ses fiançailles forcées avec Jaxson.

Elle n'avait pensé qu'à ça, qu'aux conséquences - mauvaises bien évidemment - que cela pouvait avoir sur leur vie. Elle s'inquiétait de savoir Jonas en danger par sa faute. Et s'il ne faisait pas le poids face à Jaxson, si il lui était enlevé pour toujours. Se rendait-il compte du danger qui l'entourait? Elle, ne voyait que ça, le danger que représentait ce bébé pour Jonas et elle. Cependant à voir l'enthousiasme palpable de Jonas vis à vis de ce possible enfant, elle commençait à envisager la possibilité que ce soit une bonne chose finalement. Cependant même si il n'y avais pas le problème Jaxson, n'était-elle pas trop jeune pour être mère, serait-elle une bonne mère ? Rien n'était moins sûr. Mais après tout, pourquoi pas ? Si Jonas le voulait peut-être qu'à eux deux, ils s'en sortiraient. Ils verraient bien le moment voulu après tout. Elle ne savait plus quoi faire, arriver chez Jonas elle était certaine de vouloir avorter, maintenant elle ne savait plus quoi faire. « - Tu devrais dire à ton père que Jaxson te bat, ou avoir une preuve, le faire filmer pour qu'il le voit, ou lui montrer tes bleus. Il faut qu'il réalise avec quel c*nnard il t'a foutu. » Cela fit sourire légèrement Bruna, qui haussa les épaules, répondant: « - Tu crois que ça lui ferait quelque chose... Il serait bien capable de me dire un truc du genre ' C'est que tu devais le mériter ' ou alors ' Ça c'est un homme ! ' en bon macho italien qu'il est de naissance. » Elle s'y était fait à la longue, à ses attitudes de macho, l'absence de femme dans sa vie y étant pour beaucoup. Elle l'entendit soupirer ce qui fit disparaitre le sourire qu'elle avait sur les lèvres précédemment. Quand il repassa ses bras autour de sa frêle stature, elle vint s'y blottir, ses bras ayant toujours été son petit refuge personnel où s'apaisait toutes les angoisses et les peines. Il lui embrassa la joue, elle lui sourit. Elle frissonna légèrement au contact léger de la peau de Jonas dans son dos. « - Si on était dans un vieux film, on fuirait tout les deux vers l'Europe... » Elle rit légèrement à cette remarque. « - Ouais où dans une ile paradisiaque où on se trimballerait toujours en maillot de bain au bord d'une mer turquoise. Mais bon... On est dans la vraie vie... Tu crois que je devrais quand même garder ce bébe ? » Lui demanda elle finalement en posant ses mains sur le torse de Jonas tandis qu'il se pencha pour l'embrasser tendrement puis longuement, baiser auxquels elle répondait le plus amoureusement du monde, parce qu'elle l'aimait lui et aucun autre, que c'était son enfant à lui qu'elle portait dans son ventre.

La longévité de leur relation pouvait en étonner plus d'un. Après tout combien connaissez-vous de couples qui sont amoureux depuis la maternelle et sont toujours ensemble à l'adolescence avec toujours autant d'amour l'un pour l'autre. Certaines mauvaises langues vous diront que ce n'est pas possible, qu'il y en a forcément un qui trompe l'autre, qu'on ne peut pas coucher et aimer une seule personne toute sa vie. Cependant pour Jonas et Bruna ça marchait pour le moment et c'était le principal n'est-ce pas ? Peu importe ce que pouvait penser les autres. Bien entendu dans sa remarque sur son père et le machisme italien, qui était un des principaux clichés que l'on attribuait aux homme de cette nationalité, Bruna ne mettait en aucun cas son Jonas, qu'il soit né en Italie ne faisait heureusement pas de lui un de ses gros macho qui pensait que les femmes n'étaient bonnes qu'à se taire à s'occuper des gosses et du ménage. Oui son Jonas n'était heureusement pas comme ça, il était doux, attentionné et ne la traitait pas comme un objet, il se souciait d'elle. Contrairement à son père ou à son fiancé, pour qui elle faisait partie des meubles, ou de punching-ball pour Jaxson. Jonas lui ne la traitait pas comme ça, il la traitait avec douceur, une douceur infinie qui faisait en partie pourquoi elle l'aimait tant. Puis il avait passer sa main sous le haut de la demoiselle, lui caressant le dos, elle frissonnait légèrement, se dandinait parfois lorsqu'il venait à la chatouiller légèrement en titillant l'agrafe de son soutien-gorge. Cette proximité avec lui lui avait tant manqué qu'elle profitait de chaque petit instant aussi simple soit il passé avec lui. S'il avait voulu dégrafer son soutien-gorge cependant même s'il n'était pas des bêtes, cela ne l'aurait pas déranger bien au contraire, même s'il était en pleine discussion, c'était le seul qu'elle autorisait à faire une telle chose de toute façon. Il ne le fit pas cependant, cela lui convenait tout autant. Elle lui parlait donc d'ile paradisiaque, puis revint au sujet qui blesse diront-nous, le sujet complexe du moment. Elle le regarda hausser les épaules et s'allonger sur le lit, croisant ses mains sur son ventre. Elle le regarda quelques instant avant de mettre ses bras derrière elle posées sur le lit ce qui la faisait se pencher légèrement en arrière. Elle l'écoutait. « - Je n'en sais rien. Si tu veux le garder, je n'y vois pas d'inconvénients, enfin... mes parents risquent de péter un câble mais c'est pour toi, pour tes études, tout ça. Et puis si tu penses qu'il faut attendre encore... Essayer d'arranger les choses de ton côté. Je pense qu'on peut essayer de trouver une solution ou un compromis. Vis à vis de Jaxson je veux dire, il est quand même pas dénué de cerveau. Tu devrais prendre la pilule après ça. Ca te ferait de plus gros seins » Elle soupira légèrement. « - Le hic c'est que je suis plus sur de vouloir avorter. Je t'ai jamais vu aussi heureux depuis … depuis mes fiançailles avec… Peut-être que ce bébé est ce qui pourrait nous sortir de ce traquenard dans lequel nous a foutu mon père. Et je serais toi je ne parirais pas sur la capacité mental de Jaxson. » Puis elle sourit à la dernière phrase de Jonas, en tournant la tête vers celui ci. « - En tout cas je constates que tu ne perds pas le nord toi ! »

hj. désolée ça n'est pas très long.

Il était donc allongé, elle toujours assise, appuyé en arrière sur ses bras posés sur le matelas du lit du jeune homme. La tête penchée en arrière, penseuse. Oui cette situation se devait d'être réfléchie et non d'être prise à la légère. C'était l'enjeu de toute une vie, un bébé. « - Tsss. Tu crois que jsuis malheureux ? Je sais que la situation pourrait être meilleure pour nous, mais je sais pas si la solution serait d'avoir un enfant. On vient d'avoir 18 ans à peine tu vois. Puis je sais que la situation pourrait être pire. Jpourrais ne plus t'avoir du tout. Le fait que tu sois là c'est déjà très bien » Elle haussa les épaules, le regardant toujours. « - Je sais pas p't'être bien. Pour ce qui est que je sois là ce que je t'ai dit à mon réveil de l'accident n'a pas changé. Je serais toujours là… Enfin à moins que tu me demandes de partir dans ce cas-là, je supposes que je partirais, à contre coeur, mais bon… » Elle hocha la tête, replongeant dans ses pensées, s'imaginant enceinte, avec des kilos en trop et un gros bidon, déjà qu'elle trouvait qu'elle avait des kilos en trop sans bébé, je vous dit pas l'image qu'elle se faisait d'elle enceinte c'était assez atroce. Elle regarda, amusée, Jonas rire de sa réflexion sur les effets de la pilule sur la taille de sa poitrine. Il était vraiment incorrigible celui-là alors, se dit elle. Malgré tout il la faisait toujours rire avec ce genre de remarque. Etait-ce l'amour ou avait-il un réel sens de l'humour, à vous de nous le dire, pour ce qui était de Jonas, Bruna n'était pas la personne à qui demander un point de vue objectif. Etait-ce cela l'amour? Perdre tout sens d'objectivité vis à vis de l'être aimé? L'amour rend aveugle, dit-on. La remarque de Jonas n'avait en aucun cas vexé la jeune femme qui niveau poitrine n'était pas complexé, elle se satisfaisait de ce qu'elle avait si Jonas s'en satisfaisait aussi, après tout ce n'était pas elle qui les regardait ni les touchait, alors pour elle qu'il soit petit ou gros ne changeait pas grand chose. Il l'embrassa, posant une main sur sa hanche qui la fit sursauter, sans aucune raison cependant. Elle sourit amusée de la réaction idiote qu'elle avait eu de sursauter. « - Je propose qu'on élimine Jaxson. Je pourrais le faire mourir de rire, jsuis tellement drôle. Tu veux une blague ? C'est un canibal, il courre et il se mange. » Elle haussa un sourcil avant d'éclater de rire de la blague plutôt limite de son amour. Reprenant légèrement son sérieux, elle répondit: « - Oh je sens qu'avec celle-là tu vas faire un malheur mon coeur… Si il y survit je sais pas comment il fait ! »

hj. pas mieux T-T

En voyant son air de gamin fier, Bruna ne pu s'empêcher de secouer la tête, amusée, l'air de dire ' ralala t'est pas possible toi alors! ' Si son objectif était de la faire sourire à tout prix et de lui changer les idées, lui faire oublier son quotidien si peu amusant, il avait totalement réussi sa tache. Plutôt deux fois qu'une même. C'était bien l'une des seules personnes avec qui elle était heureuse, et de loin celle avec elle était le plus heureuse. Un peu normal me direz-vous. C'est ça l'amour. Il la fit se redresser, elle ne lui opposa aucune résistance, sans pour autant faire la loque ambulante, elle le laissa faire. Il la prit dans ses bras, elle était aux anges comme toujours. Elle tendit son cou, presque par réflexe quand celui-ci vint à l'embrasser à cet endroit. Un silence s'était formé dans la pièce, et par conséquent dans la maison puisqu'ils y étaient pour le moment encore seuls. Pas un silence du genre pesant, où on ne sait pas quoi dire, où se créer un malaise./ Non un silence duquel on profite sereinement, dans ce cas-là en compagnie de la personne aimée. Un silence des plus agréables en somme. Il lui caressait tantôt les bras, tantôt le dos, elle profitait de ces caresses, tranquillement bien calée tout contre lui. Elle profitait simplement parce qu'elle savait que cela ne durerait pas toute la vie, qu'un moment il devrait cruellement se séparer pour on ne sait combien de temps, pour retourner au quotidien monotone et douloureux dans lesquels ils vivaient plus ou moins. « - MA POULE ?! » Elle le regarda d'un regard mi-noir, mi-amusé, il savait très bien qu'elle ne supportait pas qu'on l'appelle ma poule et avait envie de lui dire ' tu me cherhces c'est ça' de façon déterminée, mais tout à fait ridicule étant donné la carrure de la jeune femme par rapport à celle de l'homme qu'elle aimait, elle n'en eut cependant pas le temps puisque celui ci reprit la parole. « - tu m'aimes grand comment ? » Elle regarda ses bras frêles (à elle), puis la chambre en elle même comme pour juger de sa taille puis reposant son regard sur le visage de son amant, elle répondit simplement : « - Comme la voie lactée … et toi tu m'aimes grand comment ? »

hj. j'ai honte de ce post lamentable mais je souhaitais à tout prix te répondre avant de faire mes devoirs. et mon morale n'est pas au plus haut aujourd'hui non plus. donc bon. ♥ désolée.

Elle lui retourna donc sa question après avoir répondu tout naturellement la voie lactée, n'ayant rien trouver de plus grand, et rien n'étant suffisamment grand pour qualifier à quel point elle aimait Jonas, et ce depuis toujours ou presque. De plus les enfantillage de Jonas faisait toujours rire notre petite Bruna, ça lui rappelait la légèreté des temps passés, et elle même étant resté enfantine, ils se comprenaient. C'était d'ailleurs une des raisons pour lesquelles elle l'aimait, parmi tant d'autres certes mais quand même, avec lui pas de prise de tête juste de l'amour et du bonheur, et croyez en son expérience, il n'y avait rien de tel. Elle attendit donc sa réponse à la fatidique question, à laquelle il répondit le plus naturellement du monde. « - Alors la taille de ma main fois pi plus 25 875 941 au carré, multiplié par l'aire de ma maison. Et ça tu ajoutes 8 milliards, 659 mille 978. Et tu auras le résultat. Au boulot. » Elle laissa échapper un petit rire avant de reprendre son sérieux et de répondre comme si de rien n'était. « - Quoi c'est tout ! C'est un peu décevant monsieur Amnbroglia faudra faire mieux la prochaine fois » Avant de lui sourire du plus magnifique des sourires qu'elle puisse donner à qui que ce soit. Et qui était bien évidemment réservé à celui dans les bras de qui elle était à ce moment même. Quand il la prit par les hanches et la chatouilla BB s'écroula sur le lit en gesticulant comme une tarée. Eh oui, la miss était extrêmement chatouilleuse, si bien que plus chatouilleuse qu'elle, on avait du mal à trouver et cela Jonas le savais pertinemment le vilain ! Essayant de reprendre son souffle étant explosé de rire elle lui dit « - Ah non arrête !! » Toujours en se dandinant pour essayer de s'extirper des griffes de son agresseur (XD) manquant on ne sait combien de fois de tomber du lit.