le premier qui me parle des jonas brothers....

©lj.

Moi, c'est JONAS AMNBROGLIA. Je suis né le 14 MAI 1992, à FLORENCE en ITALIE, j'ai donc 18 ANS maintenant. Actuellement, je suis CELIBATAIRE et très pas très heureux comme ça. Vous savez, je suis LYCEEN, je ne gagne PAS ma vie. Je fais partie d'une classe sociale AISE et je suis dans le LOVE STORY.

♣ MOI, DERRIERE L'ECRAN

Je m'appelle pipsqueek et j'ai 16 ans. Je suis une FILLE. J'habite au/en PAYS. J'ai découvert le forum grâce à bazzart. Je me suis inscrit sur better in time parce que j'ai craqué sur le header et le scénario. Finalement, je serais présente au moins 7 sur 7. J'ai pris LUKE PASQUALINO parce je l'aime . Le code du règlement, si je me trompe pas, c'est code, okay pearl chérie !. - pour le groupe, j'en trouve pas un qui convienne à la situation de Jonas, sachant qu'il aime, qu'elle le sait, mais qu'ils ne sont pas en couple. aidez moi ?

♣ MY BEAUTIFUL LIFE

- youth : « plus tard, tu seras un homme »

Souvent je me demandais si plus tard je ressemblerais à mon père. Il était du genre, imposant, il avait cet air solennel qu'obtiennent les grands chefs d'entreprise après des années de durs labeurs, cet air de ceux qui savent ce qu'ils veulent, qui en imposent, qu'on respecte. Moi petit, haut comme trois pommes, j'aimais observé la façon dont il avait de me parler, les surnoms qu'il me donnait et les leçons qu'il voulait que j'apprenne de la vie. Mon père était de ces hommes qui ont des principes et souhaitent élever leurs enfants pour qu'ils deviennent des personnes respectables. Bien sûr, quand j'avais 6 ans, je n'en savais rien, je me contentais d'écouter ce qu'il me disait, de faire comme il le souhaitait, je voulais qu'il soit fier de moi. Et vous savez quoi ? Je crois que j'ai réussi.

Une enfance simple et heureuse, je n'ai jamais eu à me plaindre. Après tout, mon père disait que se plaindre, c'était pour les bons à rien. Il disait que j'avais de la chance :
« - Tu es un grand garçon, tu as de l'argent, et tu es intelligent, tu ne dois jamais te plaindre, car tu peux réussir tout ce que tu veux et car des gens, même si tu es malheureux, le sont plus que toi.
- Je ne suis pas malheureux papa.
- Bien. »

J'ai vécu à Florence en Italie pendant de longues années, je m'y suis fait des amis, des amours, un amour. Bruna. Et puis, je l'aimais. Etant petit, elle était une simple amourette, le genre à qui on offre des pâquerettes cueillies dans la cour de l'école, à qui on fait son premier baiser comme les grands, à qui on offre un bracelet piqué à maman, à qui on dessine des oeuvres d'art informes.
Et finalement, au contraire de mes amis qui changeaient d'amoureuses sans cesse et sans lassait, moi j'avais trouvé en elle tout ce qu'il me fallait, impossible de m'en lasser. Impossible de l'oublier, de ne pas penser à elle. J'ai ainsi continué à l'aimer, ainsi oui, toujours. Pour toujours.



« Tiens toi droit, enlève ta casquette, remonte ton pantalon. Arrête de soupirer ainsi, c'est déplacé. Lève la tête. Enlève tes coudes de la table. Ferme les boutons de ta chemise. Rebaisse les manches. Nom de dieu ! Tu m'écoutes ?! »

Je n'avais jamais eu à me plaindre. J'avais de bonnes notes à l'école et j'aspirais à suivre les traces de mon père, j'avais un frère qui était l'opposé de moi-même. Plus affirmé, plus rebelle. J'étais le bon exemple et lui la tâche, et il m'en voulait un peu. De plus en plus. Selon lui j'étais le chouchou, mais jamais il ne s'était demandé pourquoi; Il était incompris disait-il. Et puis, moi j'étais parfait. Je n'y ai jamais cru, et j'ai toujours tenté de me rapprocher de lui, en vain car il me rejetait sans cesse, et chaque insulte qui m'envoyait, chaque fois qu'il m'envoyait paître me blessait. C'était une entaille de plus à chaque fois qu'il faisait à mon coeur, mais j'étais persévérant et je me disais qu'avec l'âge, tout ça passerait.

Comme mon père, j'avais hérité de " la bosse des maths " qui me permettait de comprendre et calculer facilement. Un plus.

- adolescence : « le début d'une longue souffrance »

Jusqu'à présent, j'avais vécu dans une sorte de bulle protégé de tous. Je n'avais jamais vraiment souffert, sauf des piques que me balançait mon frère, mais ils étaient oubliés après quelques minutes. Je vivais d'amour et d'eau fraîche, je faisais la fête comme les jeunes de mon âge, je fumais quelques trucs illicites, et puis j'aimais. Je ne me voyais pas souffrir un jour. Bientôt, dans quelques années, je me voyais concrètement partager ma vie avec Bruna, construire, avoir des projets, mais là nous étions trop jeune, j'espérais juste que tout continue ainsi.
Puis elle m'annonça que son père l'avait fiancé à un certain Jaxson.
Tout ce que j'avais espéré alors avec elle s'effondrait. Mes projets secrètement écrits dans un coin de ma tête comme des virées dans des contrées lointaines, juste elle et moi, nos fiançailles d'ailleurs, pas tout de suite, mais plus tard, à vingt ans peut être, ou après, nous avions toutes la vie. Notre première entrée, ensemble dans la vie active, en tant qu'adulte. Tout ça, s'effondrait autour de moi. Le vide intégral. Je la perdais.
Et j'en souffrais.
Je n'avais jamais auparavant senti cette sensation. Le fait d'être important pour elle mais sans être le premier et inconsciemment je lui en voulais de me faire souffrir ainsi. Ne pouvait elle pas annuler tout ça ? Bientôt elle serait majeure, personne ne pourrait décider de ce qu'elle souhaitait faire, pas son père, pas ce Jaxson. C'était elle, mais jamais je ne lui en avais parlé. Je me taisais, je l'écoutais simplement, me dire que peu importe, elle voulait que nous restions ensemble, elle ne voulait pas tout arrêter, juste rester cachés. Personne ne devait savoir. J'acquiesçais. Sans lui montrer ma colère. Je pouvais la voir, c'était l'important. Je ne devais pas me plaindre. Néanmoins, pour la première fois de ma vie, j'en avais envie. Sincèrement. Pourquoi moi ? Je n'avais jamais fait de mal à personne. Dieu n'existait-il pas ? N'y avait-il pas un foutu justice dans ce bas monde ? Et puis j'étais là pour elle, tout le temps, à tout moment. Mon égo était blessé d'être celui qui devait l'aimer en cachette, celui qu'elle ne pouvait voir qu'une fois la nuit tombée ou quand personne n'est dans les parages, celui dont jamais elle ne parlera à personne.

Cependant, je décidai de prendre sur moi. Avais-je le choix ? Je ne pouvais me priver de sa présence, elle était celle dont je me nourrissais chaque jour depuis que je l'avais rencontré et imaginer une seconde la perdre intégralement me faisait du mal. Alors j'étais finalement heureux de la voir. Heureux d'être celui qu'elle aimait et celui qu'elle voulait. Elle ne le voulait pas lui, pas Jaxson, mais moi. Et elle n'avait pas le choix n'est-ce pas ? J'émettais quelques réserves à ce propos, mais je ne pouvais m'empêcher de l'aimer.

Je souffrais encore la fois où j'appris qu'elle avait eu un accident de voiture. Et chaque jour de son comas, chaque jour de son hospitalisation j'étais là, à son chevet à attendre qu'elle se réveille.

Merci
j'espère qu'il est pas trop tard pour s'inscrire *baffe*
genre, que le fo est toujours actif, car jsuis motivée à moooortt .

Oui je l'ai posté au tout début de la création du forum parce qu'avec mon cerveau en gruyère faut que je poste de suite l'idée sinon elle s'évanouit et j'ai oublié ma super idée ... -baffe-

mais je l'attendais depuis longtemps oui xD

bref j'arrêtes de te pourrir la fiche mi amor et te laisse tranquillement la compléter

Hann le scénario de ma bruna (a)
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche !

pfff vanessA.
jvoulais prendre Efron XD dommage que t'en ais pas fait de scénarios, c'est Bruna qui a en double compte, ais-je vu. (aa)
par défaut j'ai pris mon deuxième chéri
XD merci en tout cas

Merci
je pense avoir fini x)

Jonas Amnbroglia a écrit:

pfff vanessA.
jvoulais prendre Efron XD dommage que t'en ais pas fait de scénarios, c'est Bruna qui a en double compte, ais-je vu. (aa)
par défaut j'ai pris mon deuxième chéri
XD merci en tout cas

oui c'est bruna qui le fait !
et de rien !
je te valides et je veux un lien que se soit avec mélodie ou pearl !