Approchez, laissez vous tenter. Bérénice.

Invité

♣ IDENTITY

©blackbird.
Moi, c'est Maureen Bérénice Weiss. Je suis né le 01 mars 1986, à Paisley en Écosse, j'ai donc 24 ans maintenant. Actuellement, je suis célibataire et très heureuse comme ça. Vous savez, je suis en dernière étude d'année de psychiatrie., je gagne bien ma vie. Je fais partie d'une classe sociale aisée et je suis dans le just so you know .

♣ MY BEAUTIFUL LIFE

Je ne sais pas ce qui m'arrive. Je ne comprend pas ce que j'ai, aujourd'hui. Comme hier et demain. Je ne sais pas ce qu'il se passe. Je suis perdue. Perdue et seule. Je suis ce qui m'est inaccessible. Je l'attends le soir en rentrant. Je me presse le matin rien que pour voir sa gueule. Sa gueule d'égoïste, de tyrannique. Cette gueule qui me fais sourire. Je crois n'avoir jamais souris comme ça auparavant. Il me fait volé, et puis m'écraser par terre comme une vieille conne. Finalement, c'est ce que je suis, une idiote et vieille conne. Je lui voue presque un culte, une idéologie parfaite. Je veux ce bonheur avec lui, quelque chose qui n'est pas éphémère, quelque chose d'absolu. Un bonheur immédiat. Mais je sais que je n'en ai pas le droit. Alors, je le laisse vivre sa vie sans la déranger, je m'efface lentement, mais discrètement je l'admire dans mon coin, seule. J'aurais besoin de vous sur un projet. me dit-il, et moi j'accepte sans prendre conscience du mal qu'il me fera quand ce « projet » sera terminé. Alors, tendrement, les yeux qui pétillent, je lui réponds. Bien sûr. Quel est-il ? C'est évident, ça ce voit, je l'aime. C'est le seul qui ne le remarque pas. Sa femme serait la première à me mettre son poing dans la gueule si elle travaillait ici. Parce qu'elle-même sait très bien ce que je ressens. Bien plus fort qu'elle, bien plus difficile. Ce n'est pas de l'admiration, encore de l'obsession, c'est tout simplement de la fascination, et je mourrais si celui-ci ne vivrait plus. Et puis un jour, un baiser, une relation secrète. Je l'aime, et je lui fais savoir. Apparemment lui aussi, depuis le premier jour. Mais finalement je me réveille la nuit en sursaut, parce que je savais que toute cette mascarade n'était qu'un rêve. La réalité est bien plus dure. Et le matin, en venant, je l'aperçoit. Et ce rêve. Ce doux rêve méprisant, me tire en plein cœur d'un calibre vingt-deux, une balle en argent. Ses magnifique yeux bleu, ce sourire charmeur, m'envoute, m'attire. Mais je n'ai pas le droit, il est comme sous propriété privée. Lui seul peut choisir. Alors, j'attends petit à petit, ce moment où il me choisira plutôt que sa femme.
J'ai vécu plusieurs histoires. J'ai même été mariée autrefois, mais celui-ci est mort, tragiquement. Cela fais un peu plus de trois ans. Mon deuil n'est pas passé, j'ai encore mal de lui. Et comme un rituel, je rejoue chaque soir ma merveilleuse mélodie qu'il avait composé rien que pour moi. Mon mari est mort, mais je pense à un autre. Comme quoi la vie est mal faite. J'aimerais bien plus pensé à Thomas, bien plus pensé à celui qui a voulu me protéger lors de cette accident, mais je n'y arrive pas, parce que tout les jours, je le vois, lui et sa femme, s'embrasser sous mes yeux. Des yeux qui ne pleure pas. Mais qui méprise cette femme machiavélique. Et celle-ci me nargue. Elle me nargue avec ses airs de princesses. Elle se permet tellement de chose rien que pour me faire du mal. Elle brave des interdits. Elle fait des choses que son mari, celui que j'aime, n'apprécie même pas. Je me rappelle que la dernière, ils étaient tout les deux dans son bureau et qu'elle a voulu, quand elle m'a vu, lui faire une petite « gâterie ». Il a refusé, et blessée, elle s'en est allée. Alors, j'ai arrondis mon sourcil droit quand elle est arriver devant moi. Et qu'elle m'a ouvertement poussée. Miss catins. La salope ici, c'est pas moi, c'est toi. Je te le dis tout de suite, tout ce qui se passe ici, même si je n'y travaille pas je le sais. Alors j'ai avancée, sans même prêtée attention et pourtant arriver à sa hauteur, près de son épaule, j'ai tendu ma tête près de son oreille et je lui ai soufflée. C'est vrai. Ici, la pute ce n'est pas toi, c'est moi. Et puis, d'un grand sourire faussement vrai, je m'en suis allée donner les quelques dossiers des patients que je tenais dans mes bras. Devinez à qui je les ai transmis. Je sais que c'est mal, je sais que ce n'est pas bien. Je sais que c'est une compétition qui me fera du mal. Mais au point où j'en suis, je ne peux que creuser le sol. Je ne dors presque plus, je maigris vite donc mange très peu. Et tout cela à cause de deux mecs. Un décédé, l'autre marié. Je mettais juré pourtant petite de ne jamais mettre ma vie en danger pour des hommes. J'avais toujours demandé une vie facile. J'ai eu l'inverse. Que des emmerdes, une compétition permanente, un choix de vie que je n'avais pas demander. Cette vie, c'est mon arène. Elle me pousse à faire des choses que je n'aurais jamais fais, à dire des choses que je n'ai jamais dites. Elle fait tout pour que j'abandonne, mais voilà, j'aime mon arène.

♣ MOI, DERRIERE L'ECRAN

Je m'appelle REDWINGS, mais appelez moi Karima et j'ai 15 ans et demi ( c'est important les et demi ) . Je suis un/une femelle. J'habite dans l'île de france. J'ai découvert le forum grâce à bazzart. Je me suis inscrit sur better in time parce que je sais pas. c'est à vous de me le dire. Finalement, je serais présente au moins 5 sur 7. J'ai pris AMBER HEARD parce quand Kstew est prise, et ben c'est Heard qui l'emporte. Le code du réglement, si je me trompe pas, c'est code okay, mélodie.