Rêver, c'est bien tu sais! [Pv Jules]

Une nouvelle journée commença pour la nouvelle héritière des Hotels Wildmore. Et oui, depuis quelques temps maintenant, Angela était riche. Prés riche même! Finit le temps où elle vivait en pleine campagne du Texas, à nourrir des cochons dans la boue, à s'occuper des poules à l'odeur nauséabonde, ou encore porter des habit vieux comme le monde, et se doucher qu'une fois par semaine, par manque d'eau chaude courante. Maintenant, qu'elle était l'héritière direct de la grand chaine d'hôtels, la jeune brune avait le monde à ses pieds. Elle habitait dans une des plus luxueuse villa de la ville, décorée de meubles précieux et parfois unique. Elle ne faisait plus aucune tâche ménagère, puisqu'elle avait des employés pour cela, qui rendait sa maison aussi propre qu'un sou neuf. Pour les salles de bains, elle en avait 3 maintenant, répartie à chaque étage de la maison. Le petit cottage, sale et pathétique avait laissé place à une demeure à 2 étages, au murs couverts tableaux hors de prix, de bois. Tout les sols étaient recouvert de moquette ou de tapisseries de l'étranger. Le vieux pick-up qui avait tellement servi, que les sièges étaient déchirés et quelques pièces s'écroulaient au moindre touché, s'était transformé en un magnifique cabriolet, d'une marque célèbre, de couleur noir corbeau. A l'intérieur, les équipements derniers cris brillaient au soleil et l'odeur du cuir enivrait les narines. De même pour la garde robe, avant, Angela n'avait qu'un petit placard, où se chevauchaient des chemises de bucherons, et des jeans délavés, ainsi que des bottes et des chaussures trouées; maintenant, elle avait un dressing immense, où robes, pantalons, jupes et autres donnaient le large choix de s'habiller. De même pour les chaussures, elle avait un placard entier, rempli d'escarpins et de ballerines. Et bien sur, tout était de marque.
L'argent l'avait rendue extrêmement coquette, et dorénavant, le shopping était sa passion. Cela fait tellement du bien, de pouvoir chauffer sa nouvelle carde de crédit, pour pouvoir porter de nouvelles choses!

Angela s'était vengé, la vie lui avait enfin donné ce qu'elle avait tant voulu depuis sa naissance. Connaissant sa nouvelle situation, la brune ne faisait que profiter! On à qu'une vie après tout, et l'argent, ne manquera jamais maintenant pas comme avant. Elle vivait dans un conte de fée, qui n'était pas prêt de s'arrêter.
Une fois de plus, la jeune héritière se réveilla, dans ses draps de satin, et prit soin d'elle, la matinée entière. Son nouveau prof de sport, l'attendait à 9h, pour faire des exercices, afin de garder une silhouette parfaite. Puis une esthéticienne venu à son domicile s'occuper de ses ongles. Ensuite, ce fut le tour d'une coiffeuse qui vint lui faire son brushing. Une fois belle, la coquette congédia tout le monde, et monta dans sa chambre afin de s'habiller pour sortir à l'après-midi. La veille, elle avait reçu une invitation au Country Club de la ville, où une de ses nouvelle et riche amie organisaient une Tea Party. Montant les escaliers, elle s'imaginer déjà, avec tout ces gens de la haute société avec qui elle échangerait des points de vues, des discussions intelligentes . Cela changeait vraiment des discussions qu'elle avait avant, avec sa grand-mère où ses oncles, qui tournait généralement autour des animaux et du foin.
Elle avait le large choix pour sa tenue d'aujourd'hui, mais elle opta pour une simple robe marinière, avec les ballerines assorties, et quelques bijoux de grandes valeurs. Tout en se maquillant, elle entendit la sonnette retentir. S'arrêtant quelques secondes, elle se demanda qui cela pouvait bien être. Le Majordome allait ouvrir, et s'en occuper. Elle retourna donc à son maquillage. Lorsque soudain, elle fut appelée par son employé de maison. Apparemment, c'était pour elle. Elle hurla qu'elle allait descendre dés qu'elle aura finie. Si on vient pour elle, on pouvait bien l'attendre! Elle allait pas descendre pas prete. 10 minutes plus tard, elle sortit enfin de sa chambre et descendit les escaliers. Le son de ses talons qui raclait les marches rentissait dans toute la maison. Une fois arrivée à l'escalier du 1ere étage, qui descendait vers le rez de chaussez, elle demanda

-Qui cela peut-etre? Je suis de sortie cette aprés-midi!